Gilles, ta Haute Corrèze me rappelle un peu l'Ile de Sodor, dans "Thomas the Tank Engine", où vont se réfugier (parfois nuitamment) des tas de locomotives de toutes origines promises à la démolition sur le grand réseau.
J'imagine un Billard du PO-Corrèze, un peu imbu de son appartenance à la "grande maison" , dire sentencieusement aux autres automotrices :
"Il y a deux façons d'exploiter un chemin de fer : la mauvaise et celle du PO-Corrèze".
(Dans Thomas, c'était bien sûr une machine du Great Western, leur PLM à eux).
En tout cas, tu mérites un Thomas d'honneur pour l'ensemble de ton œuvre!
