Ma mère travaillait au début des années 50 dans le labo d'un grand fabricant français de peinture. Il fournissait notamment la SNCF et le labo avait la lourde tâche de définir la composition des peintures afin que celles-ci correspondent exactement au nuancier SNCF de référence ce qui était loin d'être évident. Ma mère m'avait confié que cela l'amusait beaucoup quand elle songeait à ce que devenaient les couleurs de ces peintures lorsque le matériel avait subit pendant un an ou plus les affres des éléments soleil, pluie, poussières,... et surtout lumière de la lune ! Et oui, on ne sait pas pourquoi, mais il paraît que c’est la lumière lunaire qui est la plus agressive pour les peintures.